2.7.07

Il suffira d'un signe de Jean-Jacques Goldman

Quand j'ai quitté ma maison hier soir, pour me rendre à la gare, et que j'ai embrassé mon beau-père pour la dernière fois avant 13 mois, j'avais un peu le moral dans les chaussettes... Un petit coup de blues très normal, puisque j'ai passé ma journée à dire au revoir à tous mes proches...

Et en passant la porte une dernière fois, en embrassant du regard cette maison que j'aime tant, avec la larme à l'oeil, j'ai entendu, à la télé, Goldman qui chantait "J'irai au bout de mes rêves...là où la raison s'achève, tout au bout de mes rêves." ...

Si ça, ce n'était pas un signe ....

2 comments:

  1. Décidément, il te colle à la peau ce Jean-Jacques! (cf mon blog..)

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  2. C'est toute la différence entre ceux qui rêvent leur vie et ceux (celles) qui vivent leurs rêves. Et comme on n'arrête pas le temps... Carpe diem ! (y a pas de grec là dedans, tu peux y aller ;o) )

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