28.4.08

Argentine: Avant de prendre la route...

"Muere lentamente quien no viaja,
quien no lee,
quien no oye música,
quien no encuentra gracia en sí mismo.
Muere lentamente
quien destruye su amor própio,
quien no se deja ayudar.
Muere lentamente
quien se transforma en esclavo del hábito
repitiendo todos los días los mismos trayectos,
quien no cambia de marca,
no se atreve a cambiar el color de su vestimenta
o bien no conversa con quien no conoce.
Muere lentamente
quien evita una pasión y su remolino de emociones,
justamente éstas que regresan el brillo a los ojos
y restauran los corazones destrozados.
Muere lentamente
quien no gira el volante cuando está infeliz con
su trabajo, o su amor,
quien no arriesga lo cierto ni lo incierto para ir
atrás de un sueño
quien no se permite, ni siquiera una vez en su vida,
huir de los consejos sensatos…
¡ Vive hoy !
¡ Arriesga hoy !
¡ Hazlo hoy !
¡ No te dejes morir lentamente !
¡ NO TE IMPIDAS SER FELIZ ! " (Pablo Neruda)


"Il meurt lentement
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver
grâce à ses yeux.
Il meurt lentement
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement
celui qui devient esclave de l’habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
Ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d’émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés.
Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu’il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n’a fui les conseils sensés
Vis maintenant !
Risque-toi aujourd’hui !
Agis tout de suite !
Ne te laisse pas mourir lentement !
Ne te prive pas d’être heureux !"
(Pablo Neruda)



Merci Simon...

Argentine: Buenos Aires - Un dia por la calle...

Buenos Aires, Argentine
Dimanche 27 avril 2008


Palermo Viejo, un dimanche matin...Depuis la terrasse d'un café, simplement observer la Vie qui passe...


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Crédits (1) à (7): Lau

27.4.08

Argentine: Buenos Aires - Boca y Bowling

Buenos Aires, Argentine
Samedi 26 avril 2008


Aujourd'hui: La Boca, qui a vu s'installer les premiers immigrants (pour beaucoup italiens) qui sitôt descendus du bateau ont posé leurs valises ici, construisant des maisons multicolores en tôle ondulée appelée "conventillos". Résumé de ma journée en images...


Un petit endroit tenu secret, connu seulement des porteños...On y mange bien, dans un décor qui n'a pas changé depuis des dizaines d'années. C'est typique, authentique et délicieux...(c) Lau


Les "conventillos", sur le Caminito (la rue la plus connue de la Boca) (c) Lau


(c) Lau

Qui dit "lieu touristique" dit "bon moyen de faire quelques pesos", surtout si on est le sosie de Diego! (c) Lau





La Boca est aussi le nom du stade énorme (entre 40 et 50 000 personnes), résidence de l'équipe mythique de la Boca Juniors, où ont joué Diego, Battistuta...Lorsque les immigrés qui ont créé cette équipe ont voulu choisir les couleurs, ils ont décider de prendre celles du drapeau que porterait le prochain bateau qui entrerait au port....Il était suédois, jaune, bleu, tout y est! (c) Lau




Et nous avons fini la journée par une bonne partie de bowling! J'ai terminé par 2 strikes et 2ème / 5, pas si mal!
(c) Lau

26.4.08

Argentina: Buenos Aires, MALBA et la Recoleta

Buenos Aires, Argentine
Vendredi 25 avril 2008

2 choses avant tout:
  • Un excellent joyeux anniversaire à ma Zaza à qui je pense bien fort! J'espère que tu auras passé une bien bonne journée (avec le décalage horaire, c'est déjà le 26 en France).
  • Une très bonne fête à tous les Marc et au mien particulier! Bisous ptit frère!


Alors après la folle soirée d'hier, je ne me suis pas levée bien tôt ce matin mais j'étais quand même la première devant la porte du Malba à midi.
Le MALBA est le Musée d'Art Latino-américain de Buenos Aires qui a été ouvert par un collectionneur millionnaire argentin Costantini. La collection permanente contient des oeuvres en autres de Frida Kahlo et Botero, qui sont sûrement les deux artistes latino-américains dont les noms nous sont le plus familiers.

"Autoportrait au singe et au perroquet" (c) Frida Kahlo

Art moderne, bâtiment moderne, blanc façon "open space"... Toujours très subjectif, et bien peu d'explications...Chacun y trouve un peu son bonheur et sûrement que certaines oeuvres mériteraient qu'on leur accorde beaucoup de temps, mais pour ma part, je n'avais pas assez les yeux en face des trous pour ça. Malgré tout, j'y ai quand même passé deux bonnes heures, ce qui est honorable, car ce n'est pas non plus le Louvres.
Ma petite satisfaction: je n'ai pas eu à payer mon entrée car on m'a classée direct "étudiante"...Les voyages forment peut-être la jeunesse, mais ne déforment pas la mienne en tous cas!


Blanc et very open...(c) Lau

Et puis j'ai donc marché dans le quartier, c'est là que l'on trouve toutes les ambassades, la faculté de droit et jusqu'au quartier de la Ricoleta, le plus français des quartiers de Bs As. Ce fut comme d'arriver dans le XVIème à Paris, quartier Rue de la Pompe, par exemple...Il y a même la place Francia, et une agence de la BnpParibas, Louis Vuitton etc. Les rues sont bordées d'arbres, petites épiceries plus chères qu'ailleurs, des entrées d'immeubles façon Haussmann...

Et puis je me suis retrouvée, grâce à mon sens de l'orientation pas trop mauvais, sur l'Avenida Santa Fé qui me ramène directement à la Plaza Italia et donc à la maison dans le Palermo Viejo.
La fin d'après-midi je l'ai passée dans mon café sur la petite place où l'on trouve jongleurs et marché d'artistes/d'artisans, à faire des recherches pour la suite de mon voyage.
Ce que j'ai trouvé me met en face d'une réalité qui ne m'avait pas encore percutée: la taille de ce pays et de ce continent! Je me prépare quelques bonnes heures de bus/train/bateau mais ça s'annonce d'ores et déjà incroyables du point de vue des paysages.

Je devrais partir lundi pour la Patagonie. Mon premier arrêt était prévu pour Puerto Madryn pour tenter de faire un trip "baleines", mais elles ne seront pas dans le coin avant mi-juin. Je vais donc faire l'impasse et descendre directement jusqu'à Rio Gallegos pour prendre une correspondance vers El Calafate et les Andes. De là, je descendrai sur Ushuaia pour quelques jours puis direction le Chili.
Si tout va bien, le 8 mai j'embarque à bord d'un ferry pour faire Puerto Natales - Puerto Montt en 5 jours parmi les glaciers, fjords, icebergs etc... Mais rien de confirmé pour l'instant.
Chaque chose en son temps...

25.4.08

Argentine: Buenos Aires - La Viruta!

Buenos Aires, Argentine

vendredi 25 avril 2008 – 2.00 am


Des classes de tango, plusieurs niveaux, des dizaines de couples réunis dans une même salle, un bazar monstre !

Ca tourne, ça virevolte, ça lève la jambe (souvent la mauvaise), et ça se cogne, ça se marche sur les pieds, ça se gêne, mais ça recommence, inlassablement !

Et puis ça a l’air d’être une façon plus ludique et sportive que www.meetic.com pour faire des rencontres. J’en ai repéré un, du genre bellâtre, tout habillé de noir, qui tenait sa partenaire, une très très jolie et gracieuse Argentine, de très près…Trop, sûrement, à en juger par l’air ennuyé de la demoiselle, et la distance qu’elle essayait d’imposer entre elle et son tangueur argentin, collant comme un caramel trop mou.

Elle ne montrait vraiment aucun enthousiasme et a d’ailleurs fini par lui échapper et est allée s’asseoir un peu plus loin.

Après les cours (qui font déjà passer un bon moment, quand on observe quelques-uns de ces amateurs studieux mais pas nécessairement doués), tout le monde change d’endroit et il est l’heure (minuit donc) de mettre en pratique ces longues et fastidieuses séances d’apprentissage.

C’est la VIRUTA. D’ailleurs, il faut prononcer « Bilouta ». J’ai même cru jusqu’à ce que je vois le mot écrit, que la vague ch’ti avait déferlé jusqu’à Buenos Aires.

Bref, imaginez, un sous-sol obscur, quelques spots de couleur, une piste de danse de bonne taille, des tables et chaises réparties tout autour, et sur la scène, un orchestre.

Un genre « thé dansant » mais qui commence plutôt vers 1h du matin, et où l’on pratique uniquement le tango.

Ah, d’ailleurs revoilà le bellâtre de tout à l’heure, à la recherche de sa prochaine proie. Il est à l’affût, il observe les demoiselles déjà en piste et jette son dévolu sur celle qui lui semble être à la hauteur de son « talent » et qui sera à son bras l’accessoire idéal, comme une belle paire de boutons de manchettes : discrètes mais qui savent mettre en valeur la chemise et qui font briller en société.

Il faut avouer que cela donne envie, c’est beau lorsque c’est bien dansé, le tango argentin, et parmi les amateurs de tout à l’heure, certains se débrouillent vraiment bien.

Pour ma part, je reste assise au bord de la piste de danse, façon « Tapisserie – Je peux pas, je garde le sac de ma copine ». Bon, je suis là toute seule, mais comme on m’a demandé à plusieurs reprises d’accorder une danse et que je serais bien incapable de faire autre chose que de me ridiculiser, j’ai refusé, et c’est bien dommage.

Les choses sérieuses commencent lorsque l’orchestre de Luis Miglioni monte sur scène. Il se compose d’un chanteur jeune mais à la voix puissante, d’un pianiste, deux violons, un contrebassiste et deux bandonéons.

Les évènements prennent une tournure plus sérieuse, chaque couple est concentré ; souvent les yeux sont fermés, les mains un peu crispées mais les bouches sont ouvertes car ils mâchouillent presque tous un chewing-gum. Ça casse le glamour !

Ils ont tous l’air de prendre vachement de plaisir en tous cas, et j’en prends tout autant en les regardant. C’est un vrai vrai bon moment !

Les danseurs, ces amateurs plus ou moins éclairés, sont de tous âges et de tous styles. Très souvent les femmes, perchées sur leurs hauts talons, dépassent d’une tête au moins leurs partenaires masculins que ça n’empêche absolument pas de mener la danse d’une main ferme.

Et puis des blonds avec des brunes, des jeunes et des vieux, des pères et leurs filles, tous réunis pour l’amour de cette tradition, née dans le quartier de la Boca, à Buenos Aires.

Perpétuer les traditions est parfois difficile, mais celle du tango semble être décidément loin de disparaître et tant mieux !

Puissent des générations d’Argentins faire vibrer encore des centaines de voyageurs européens qui n’y connaissent presque rien.

Du vrai tango, en live, envoûtante et sensuelle musique qui me transporterait direct dans les quartiers populaires de Buenos Aires, si je n’y étais pas déjà…Vivre le tango en Argentine, quel bonheur !

Les mélodies sont chaudes, torrides mêmes, mais aussi agressives et passionnelles…

Je vous le dis, j’ai déjà la rose dans la bouche et suis pas loin de m’accrocher au bras du premier bel Argentin qui passerait un peu trop près de moi.

Retenez-moi ou je ne réponds plus de rien !

Bon sang, cette musique donnerait même envie à une brosse à chiottes de danser le tango !

24.4.08

Argentine: Buenos Aires, d'autres photos du jour...

Puerto Madero et l'une des frégates-école de la Marine (c) Lau


La manifestation des "Mères de la Place de Mai" (ou "Folles de Mai", merci MiK), des mamies en colère (c) Lau


Il est moyen crédible quand même... Yuki, c'est pour toi! (c) Lau


La baignoire rose...je kiffe! (c) Lau


Numéro direct pour toute demande de miracles...S'Il existe, il a un téléphone...(c) Lau

Argentine: Buenos Aires - Rencontre musicale "por la calle"

Buenos Aires, Argentine
Jeudi 24 avril 2008


J'ai encore beaucoup marché aujourd'hui, mais en tongues cette fois. Mes pieds ont quand même du mal à se retrouver enfermés après 10 mois à l'air libre... Alors j'y vais doucement, je les réhabitue petit à petit, mais j'ai fait mes 2 premiers jours en Converse, et j'ai des ampoules qui vont bien.
Bref, ça ne m'empêche pas d'avancer. Donc mon but aujourd'hui était de faire un tour sur le Puerto Madero, les quais le long de la rivière qui ont été, comme dans beaucoup de villes (je pense à Lisbonne) réhabilités.

"Vous imaginez la vie sans musique?" (c) Lau


Mais en route, alors que je remontais la Calle Florida (la rue piétonne la plus commerçante de la ville), je me suis arrêtée pour écouter un peu de musique, interpellée par cet écriteau... Ce groupe interprétait des "classiques" de la musique latino-américaine, mais surtout un morceau que l'on connait et qui avait été repris par une jeune chanteuse (Nathalie Cardone) il y a quelques années, "Hasta Siempre", dont le sujet est donc le Che Guevara.
Il m'avait échappé que cet homme célèbre partout dans le monde pour ses actes révolutionnaires était argentin à l'origine. Et donc il est omniprésent ici, cartes postales, posters, graffitis sur les murs etc.
Et même dans la rue, en musique. C'était assez émouvant, lorsque les musiciens ont commencé à chanter, de voir tous les passants s'arrêter, les regarder, chanter et presque dans un recueillement quasi-religieux... Un grand moment, je dois dire... J'en ai encore la chair de poule, rien que d'en parler!!



(c) Lau

Argentine: Buenos Aires, au coin de Gorriti et Arevalo...

Buenos Aires, Argentine

Jeudi 24 avril 2008

C’est dommage que le courage m’ait fait défaut hier soir lorsque je suis rentrée, car je crois que mon texte aurait eu une autre saveur…Malgré tout, je ne vais pas me faire prier et raconter ma curieuse soirée d’hier.


Mes amis et hôtes, Augusto et Carina, m’ont proposé de les accompagner à l’inauguration d’un nouveau resto dont la proprio est une de leurs amies. Porque no, c’est toujours muy interesante de voir comment ça se passe ailleurs, et puis je sais maintenant par expérience que refuser ce genre de soirées, surtout à l’étranger, c’est risquer de passer à côté de certains moments que je qualifierais de « collector ».

Alors nous voilà partis, pas bien loin, dans le même barrio de Buenos Aires que celui où j’habite, à savoir Palermo. Moi je suis dans le Palermo Viejo, et le nouveau resto est dans le Palermo Hollywood, de l’autre côté de la voie ferrée. Je sais pas trop pourquoi il s’appelle « Hollywood » ce quartier, même si c’est vrai qu’il y a quelques bars chics/trendy/fashion* (*inutile de rayer la mention inutile).

A l’occasion, si vous passez par là, faites un tour au Ponza Ristorante, au coin de Gorriti et Arevalo. C’est là que j’ai donc passé ma soirée, et il faut dire que le lieu vaut le coup d’œil. On entre et on se croirait en Grèce ou en Italie, sur les bords de la Méditerranée. Murs à la chaux, mobilier en bois sombre, fenêtres et rambardes peintes en bleu, dans le plus pur respect de la tradition. Très haut de plafond, patio intérieur, une mezzanine, déco de bon goût, la classe ! Nous sommes accueillis par un énorme videur et un premier verre de vino tinto argentin (muy bueno !). Nous sommes parmi les premiers arrivés, ça permet de rencontrer la proprio des lieux et de discuter 5 minutes avec elle. Je vous la décris brièvement : 1m80 au garrot, 45kg toute habillée, des cheveux bruns incroyables, habillée avec simplicité mais beaucoup de classe, bref il paraît que c’est une ex-mannequin. Ah ouais, quand même…Bon, why not !

Là où ça devient intéressant, c’est quand l’ex-mannequin invite à sa soirée toutes ses copines top models, et pas que des ex de la décennie précédente. Avant d’avoir fini mon 2ème verre de vino tinto et de pouvoir dire « ouf », je ne pouvais pas tourner la tête sans voir une de ces beautés fatales ! J’ai quand même fait quelques soirées à Paris où il y avait quelques grandes gigues mannequins, mais là, nous n’étions pas très nombreux, et les ¾ des invitées présentes faisaient partie des plus beaux spécimens de la gente féminine qu’il m’ait été donné de rencontrer. Certes, un peu à la limite de l’anorexie pour certaines et à mettre en faillite les fabricants de soutien-gorge, mais vraiment, toutes incroyablement belles et classieuses ! Et ça, par exemple, ça change de certains pays visités très récemment ou les filles ont beaucoup de choses mais la classe, elles ont passé leur tour…

Bref, rapidement, c’est devenu insupportable de taille 34-36, de sourires Colgate et de « je dis non aux petits hors d’œuvre et canapés »… J’en aurais presque fait un complexe si je n’avais pas été aussi occupée à parfaire mon palais d’œnologue amatrice et à faire honneur à la cuisine de notre hôtesse.

Bon, il y avait bien quelques Argentins aussi, en majorité assez beaux également, un peu moins « prout-prout » et relativement plus intéressants niveau conversation. J’ai d’ailleurs discuté avec Ugo, un ancien rugbyman professionnel qui a joué en France et qui maintenant travaille dans l’import-export de sucre, papier, maïs etc. Et bien tout ça en espagnol, voyez-vous, et de mieux en mieux au fur et à mesure que le jeune extra (d’ailleurs bien plus beau que les invités costard-cravate) passait avec son plateau de vasos de vino tinto.

« Ben frais, ben agréable… ».

D’ailleurs je suis allée prendre le frais devant le resto, et je me suis retrouvée au milieu du dernier Vogue ! Comment dire…je faisais tâche ? Ou pas finalement, parce qu’un photographe de mode est arrivé, devant lequel sont toutes tombées en pamoison les godiches, et vas-y qu’il a commencé à leur faire la bise à toutes, moi y compris ! Il a juste du se dire que la mode pour la saison printemps-été 2008 était aux moins de 1m65…N’importe quoi, mais j’ai bien rigolé en lançant nonchalamment mon « Ola que tal ? muy bien gracias » d’un air entendu.

Ah, on est V.I.P ou on ne l’est pas…Et peu importe que l’on soit à Buenos Aires ou à Paris, la Classe Internationale permet de s’adapter à ce genre de situations avec une simplicité déconcertante !

Et avant que vous ne me harceliez de mails, messieurs, non, je n’ai pris aucune photo des filles qui m’entouraient, alors pas la peine de réclamer ! Mais j’ai bien pensé à vous…

23.4.08

Argentine: Buenos Aires, San Telmo en photos

Mysterieuse...(c) Lau


A San Telmo, le Pasaje de la Defensa (c) Lau




La plus vieille eglise de BsAs, San Ignacio (c) Lau




le Cafe Dorrego, sur la place du meme nom, au coeur de San Telmo...On s'y sent bien (c) Lau




Le marche couvert de San Telmo, fruits, legumes et antiquites...l'un des derniers du genre a BsAs (c) Lau


Por la calle... (c) Lau


Un metier courant ici: Promeneur de chiens... (c) Lau

21.4.08

Argentine: Buenos Aires, premieres photos

Le depart...

Cafe Tortoni, une institution


Maradona, bien sur!

"Take it easy..."


El Congreso


La Cathedrale


Certains se font cirer les pompes...

et d'autres preferent les tongues...ici, on est au paradis!




Piaza de Mayo


Palais du Gouvernement


Reseau de bus tres developpe a BsAs


(c) Lau